Toute littérature est une propagande
                      Toute littérature est une propagande
Paul Nizan
344 pages
                  
                  
Paul Nizan
344 pages
 
        
        
        
        
        16,10 €
		        
                  
              
    
    
          
    
          
    
          
    
    
              TTC
            
      
                        Livraison sous 15 jours
                  
      
			 Notes et avis clients
			
            					
		
                                                                            personne n'a encore posté d'avis
                            								
                                sur cet article
                                                    
                        
                        
                        
						
						
						
					
                    			
                                     
            
                          Livraison en Guyane tout compris
                                     
            
                          Retours et SAV simplifiés
                                     
            
                          Garantie Isleden
Description
Paul Nizan, célèbre pour ses pamphlets comme Les Chiens de garde (1932), a aussi été un grand critique et un explorateur de la littérature durant toutes les années 1930. Dans la presse quotidienne (L’Humanité) et dans des revues (Europe), il a examiné avec passion et sagacité H.G. Wells, Steinbeck ou encore le Céline de Voyage au bout de la nuit et de Mort à crédit, à propos de qui pas un seul de ses jugements ne pourrait être retranché aujourd’hui. Ces longs et brillants articles avaient été réunis chez Grasset en 1971, les voici pour la première fois réédités.
Nizan ne croit pas à la pureté de la littérature : il cherche les moyens d’y amener ceux qui n’écrivent d’habitude pas et de créer une littérature révolutionnaire. Membre du Parti communiste, mais sans dogmatisme, il impressionne par la perspicacité de ses propos et la pugnacité de ses propositions, plus que jamais d’actualité près d’un siècle après leur publication.
« Toute littérature est une propagande. La propagande bourgeoise est idéaliste (…). La propagande révolutionnaire sait qu’elle est propagande. »
    Nizan ne croit pas à la pureté de la littérature : il cherche les moyens d’y amener ceux qui n’écrivent d’habitude pas et de créer une littérature révolutionnaire. Membre du Parti communiste, mais sans dogmatisme, il impressionne par la perspicacité de ses propos et la pugnacité de ses propositions, plus que jamais d’actualité près d’un siècle après leur publication.
« Toute littérature est une propagande. La propagande bourgeoise est idéaliste (…). La propagande révolutionnaire sait qu’elle est propagande. »