Le dernier des fariniers
Le dernier des fariniers
Jacques Villeneuve
172 pages
Jacques Villeneuve
172 pages
23,00 €
TTC
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Description
La résurgence d’un souvenir d’enfance, la découverte tout à fait fortuite mais bien réelle, dans l’ancien moulin de son grand-père en 1960, d’un document daté du début du XIXe siècle déclenche chez l’auteur le besoin irrésistible de faire connaissance avec ses ancêtres et chercher dans les archives les explications qu’il n’avait pas eues à l’époque.
Chacun d’eux a su transmettre à sa descendance l’amour du métier de meunier, allant jusqu’au dévouement et même l’abnégation ; certains en ont même oublié de fonder une famille pour se consacrer entièrement à leur moulin.
Depuis le règne de Louis XV, en passant par les guerres de Vendée jusqu’à nos jours, il décrit dans ce livre l’atmosphère de chaque période, les évènements marquants parfois mouvementés, les coutumes et les traditions vendéennes.
Après avoir lu ce livre, on ne peut qu’être convaincu qu’un moulin, qu’il soit à vent ou à eau, devait être traité comme un être vivant, car l’oreille exercée du meunier était la garantie de la pérennité de cet outil de travail que l’on se devait de respecter comme un membre de sa famille ou son meilleur ami.
Chacun d’eux a su transmettre à sa descendance l’amour du métier de meunier, allant jusqu’au dévouement et même l’abnégation ; certains en ont même oublié de fonder une famille pour se consacrer entièrement à leur moulin.
Depuis le règne de Louis XV, en passant par les guerres de Vendée jusqu’à nos jours, il décrit dans ce livre l’atmosphère de chaque période, les évènements marquants parfois mouvementés, les coutumes et les traditions vendéennes.
Après avoir lu ce livre, on ne peut qu’être convaincu qu’un moulin, qu’il soit à vent ou à eau, devait être traité comme un être vivant, car l’oreille exercée du meunier était la garantie de la pérennité de cet outil de travail que l’on se devait de respecter comme un membre de sa famille ou son meilleur ami.