schnock n°29

Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des uvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc. Tout bonnement. Alors rejoignez-nous ! Après vous...\nLa Revue des Vieux de 27 à 87 ans, n°29, Hiver 2019, Jean Gabin\nSous la direction de Christophe Ernault et Laurence Rémila\nAU SOMMAIRE\np.3 L'Édito\np.6 Le Trombinoschnock\nP.8 Schnock des cultures\ntout ce que vous avez toujours voulu savoir etc.\np.10 « Bien entendu, c'est on » par Éléonore Cambret\np.14 Top 15 « Quelle est la différence entre... » par Christophe Ernault\nP.20 Les Schnocks parlent aux Schnocks\np.22 Le Grand Dossier : Jean Gabin\np.24 Florence Moncorgé-Gabin : « Papa était très protecteur. Trop peut-être. » par Luc Larriba et Jean-Yves Guilleux\np.34 Mathias Moncorgé : « La droiture et l'honnêteté sont les premières choses qu'il nous a inculquées » par Luc Larriba et Jean-Yves Guilleux\np.42 Le Bleu des yeux, le blanc des crins, le rouge de la couperose par Laurent Chalumeau\np.50 Dico Schnock Jean Gabin par Christophe Ernault et Karelle Fitoussi\np.62 Le Drapeau noir flotte sur la marmite Les années molles (1946-54) par Alister\np.72 Gabin au vestiaire par Pierre Léonforte\np.78 Denys de La Pattelière « Il était tellement pudique » par Luc Larriba\np.86 « Y a pas qu'Audiard dans la vie », ses aphorismes 100 % lait cru, sans Audiard rassemblés par Christophe Ernault\np.98 « Si c'est le môme Dabadie qui a écrit, je veux bien lire », le making of de « Maintenant je sais » par Laurent Jaoui et Baptiste Vignol\np.104 Gabin et les femmes par Cécile Collette\np.112 Johnny Hallyday : « On est de passage sur cette Terre, profitons-en ! » par Jean-Pierre Dionnet, Philippe Manuvre et Karl Zéro\np.132 Dico des aristos du cinéma par Pierre Léonforte\np.146 Dani : « Je voulais être balayeuse sur le France » par Baptiste Vignol\np.162 Top Dani par Alister\nP.166 Schnock chez soi\nlectures & autres loisirs de chambre\np.168-173 Nos Trésors cachés ne le restent jamais très longtemps\np.168 Trésor livre : Les Oreilles sur le dos de Georges Arnaud par Édouard Jacquemoud\np.170 Trésor CD : La Nouvelle Vie de Michel Jonasz par Théo Abarrategui\np.172 Trésor DVD : La Raison du plus fou de François Reichenbach par Sylvain Perret\np.174 Schnock des photos : Bérurier Noir par Roland Cros propos recueillis par Laurence Rémila\nON EN PARLE DANS LES MÉDIAS \n«Nouvelle livraison une fois encore mythique de la revue Schnock.» Daniel Muraz, Le Courrier picard\n« Avec en couverture Jean Gabin, à qui est consacré le grand dossier, où il est beaucoup question de cinéma, mais aussi de chanson, en l'occurrence Maintenant je sais, numéro un des ventes en 1974, adaptation par Jean-Loup Dabadie de But Now I Know d'Harry Philip Green, avec des arrangements de Jean-Pierre Sabar. » Sylvain Siclier, Le Choix de la Matinale, Le Monde\n«Vous cherchez un cadeau pas cher, très tendance et vintage à la fois, qui plaise à coup sûr, fasse sourire les ronchons, mette du baume sur notre époque contusionnée, rappelle le temps lointain où il n'était pas interdit d'être libre de fumer, de bouffer mal, de conduire vite d'aimer Le Père Noël est une ordure et Les Galettes de Pont-Aven et se savoure telle la madeleine que, le dimanche matin, à Combray, Tante Léonie offrait, après l'avoir trempée dans du thé, au petit Proust? Le voici : c'est Schnock, la revue des vieux de 27 à 87 ans». Jérôme Garcin, L'Obs\n«Un magistral Jean Gabin en couverture de la dernière livraison de la revue Schnock.» Élisabeth Quin, «28 minutes», Arte