SCHNOCK N°24- LES CHARLOTS

Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des uvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc. Tout bonnement. Alors rejoignez-nous ! Après vous...\nLa Revue des Vieux de 27 à 87 ans, n°24, Automne 2017, Les Charlots\nSous la direction de Christophe Ernault et Laurence Rémila\nAU SOMMAIRE \np.3 L'Édito\np.6 Le Trombinoschnock\nP.8 Schnock des cultures\ntout ce que vous avez toujours voulu savoir etc.\np.10 « Bien entendu c'est on » par Éléonore Cambret\np.14 Top 15 de la pipe au cinéma par Gaspard Leclerc\nP.22 Les Schnock parlent aux Schnocks\np.24 Le grand dossier Les Charlots\np.26 « Les Charlots par les Charlots » par Christian Eudeline\np.54 18 bonnes raisons d'aimer les Charlots par Christophe Ernault / Alister\np.60 Antoine : «Ils étaient meilleurs que les Chaussettes noires ou les Chats sauvages» par Baptiste Vignol\np.64 Philippe Clair : « Ils avaient un atout de taille : c'était une bande de copains déjà formée ! » par Gilles Botineau\np.68 Les Charlots selon Claude Zidi par Gilles Botineau\np.74 « La critique les ignore et ils ignorent la critique » - Henry Chapier & Co contre les Charlots par Sylvain Perret\np.78 Les Charlots : la filmo invisible! par Gilles Botineau\np.83 François Ruffin : « Merci patron ? Une espèce de révolte souriante » par Laurence Rémila\np.86 Nicoletta : « J'ai fait découvrir la soupe à l'oignon à Jimi Hendrix » par Baptiste Vignol\np.106 Le temps béni du grand reportage par José-Alain Fralon\np.118 Patrice Blanc-Francard : « Les auditeurs adoraient qu'on passe du coq à l'âne » par Laurent Jaoui\np.132 Jean Tissier, l'amant de la continental par Jean-Louis Ivani\np.148 Pascal Jardin, l'homme pressé par Jean-Yves Guilleux et Luc Larriba\nP.166 Schnock chez soi\nlectures & autres loisirs de chambre\np.168-173 Nos Trésors cachés ne le restent jamais très longtemps\np.168 Rue du Havre de Paul Guimard par Thomas Moralès\np.170 The Humours of de Lewis Furey par Benoît Sabatier\np.172 Juste avant la nuit de Claude Chabrol par Alister\np.174 Le Schnock des photos : Jean-François Bizot vu par Foc Kan, propos recueillis par Laurence Rémila\nON EN PARLE DANS LES MÉDIAS \n«Que c'est bon d'être Schnock!» Sandrine Mariette, Elle