La science des notaires

La pratique notariale est une part du droit tel qu'il est vécu car le notaire n'est pas seulement chargé de l'authentification des actes qu'il reçoit il doit d'abord apporter son conseil à son ou ses clients avant de procéder à la rédaction. Ainsi est-il immédiatement au contact des besoins sociaux. Dès lors à travers la mise en formules des volontés des comparants, la pratique notariale est d'un poids certain sur l'évolution du système juridique. L'auteur a longtemps étudié les archives notariales, il a tenté d'évaluer cette influence sur une longue perspective historique, depuis l'apparition du notariat public en France. Il a ainsi dégagé les tendances constantes du notariat jusqu'à nos jours, dans la recherche de la protection des intérêts des parties. Il a mo,tré également comment surtout depuis un demi-siècle, le notariat s'est donné les moyens de perfectionner la formation juridique de ses membres, de maîtriser rapidement l'inflation des textes législatifs et d'adapter le formulaire, enfin d'intervenir auprès des gouvernants et du Législateur pour répondre aux besoins créés par la rapide évolution de la société.;La science des notaires - Jean Hilaire | Isleden;La science des notaires - Jean Hilaire - Broché | Tous les livres des éditions PUF sont sur Isleden;31.49;25.95;0.00;https://images.centprod.com/3025598580106/HN3Rx7tptxT5Ch-Lvt4QPRGHtZG8adwDir7apVdVFujRk1Unj5C4vA-cover-large.jpg;1.70;21.70;15.00;0.42 9782130509257;9782130509257;4024;PUF;UNION DISTRIBUTION - UD;Le sujet lyrique à la renaissance;Editions PUF
Format Broché

Auteur : Nathalie Dauvois-Lavielle;La poésie lyrique de la Renaissance est une poésie de l'émotion et de la passion autant qu' une poésie de la voix, d'une voix singulière toujours en écho, revendiquée dans un lien nouveau de la poésie à la musique au moment où s'impose encore plus nettement qu'au cours des siècles précédents le lien à l'écrit, au livre, au recueil. C'est une poésie de l'invocation, de l'évocation toujours adressée à quelqu'un malgré l'absence de destination immédiate qu'imposent écriture et lecture. Je te supplierai seulement d'une chose, lecteur, de vouloir bien prononcer mes vers et accomoder ta voix à leur passion ... et te supplie encore derechef où tu verras cette marque ! vouloir un peu élever ta voix pour donner grâce à ce que tu liras."De même Ronsard dans son "Abrégé de l'art poétique" : "Je te veux bien avertir de hautement prononcer tes vers en ta chambre, quand tu les feras, ou plutôt les chanter." Extrait de la conclusion