La Littérature et la mort
Editions PUF
Format BrochéAuteur : Michel Picard
Format BrochéAuteur : Michel Picard
12,92 €
TTC
Livraison sous 15 jours
Notes et avis clients
personne n'a encore posté d'avis
sur cet article
Description
PREMIÈRE PARTIE — ELLE, 1 III – Un sujet peu traité ? (p. 3). Les trois maux de la critique littéraire : 1. Hégémonie de l'histoire littéraire : justification du point de vue historique (p. 4) rôle du « témoignage littéraire 7 ? (p. 5) la « littérature d'idées 7 (p. 6) complexité et ambiguïté essentielles de l'art (p. 10). 2. Illusion référentielle : la « mort 7 dans les livres diffère-t-elle quantitativement et surtout qualitativement des morts réelles ? (p. 13) conventions, procédés, symboles (p. 14). 3. Empirisme : limites flagrantes de la « thématique 7, sur ce sujet (p. 19) embarras pour définir celui-ci (p. 21) et confusion épistémologique (p. 21). III – La mort impensable (p. 25) l'inconscient l'ignore (p. 28). Expérience du deuil cependant (p. 29) silence et parole (p. 31) écriture et travail du deuil (p. 34). Proposition : la mort comme structure relationnelle (p. 35). Son caractère unique sur les plans conceptuel et linguistique (p. 36) un joker ? (p. 37). Un être de langage, irreprésentable (p. 39). Le cas singulier de croyance qu'elle détermine dans la fiction (p. 40).DEUXIÈME PARTIE — LUI, 43 III – Temporalité du récit et intemporalité de la mort (p. 45) : artifices (p. 46). Curiosité pour le « passage 7 (p. 48). Le topos de l'agonie (p. 50) son idéal de maîtrise (p. 50) dénoncé par la littérature ? (p. 56). III – L'écriture comme lutte contre la mort (p. 60) et phallicisation (p. 62). Le parricide oedipien (p. 64), la mauvaise conscience (p. 67) et la réversibilité du talion (p. 68). Au coeur du problème I : l'angoisse de mort est angoisse de castration (p. 71). III – Sacrifice d'Abraham ou d'Iphigénie ? (p. 73). Ce qui importe est la relation, non les personnages (p. 74). Si la mort renvoie à la castration, celle-ci renvoie à une mort : la « mort initiatique 7 (p. 77). Crise de l'univers patriarcal ? (p. 80).TROISIÈME PARTIE — TOI, 85 III – La mort comme opérateur fantastique (p. 87). Irrationalité : délires (p. 88), roman noir (p. 89). L'horreur du cadavre (p. 90) et l'oxymore du mort-vivant (p. 92). Cas exceptionnel du vampire (p. 94). Le réalisme macabre (p. 97). III – « Eros et Thanatos 7 : le problème de la perversion en littérature (p. 100). La mort est femme, elle est une Mère (p. 104). Ambivalences : l'enlisement (p. 106). Rêveries du Retour à la Mère (p. 108). Topos de la mort d'une femme aimée (p. 112) Eurydice deux fois perdue (p. 114). Au coeur du problème II : l'angoisse de mort est angoisse d'abandon (p. 117). III – La mort est une Mère mais la Mère est la mort (p. 120). Misogynie (p. 121). Morte-vivante et Mère phallique (p. 122). L'empoisonneuse (p. 125). Infanticide/matricide : réversibilité de la mort-relation (p. 127). La littérature comme « réparation 7 (p. 133).QUATRIÈME PARTIE — MOI, 139 III – Derrière la mort-castration et la mort-séparation, la perte (p. 142). Défenses collectives contre elle (p. 143). Non une perte, mais toutes les pertes vécues : une structure de perte (p. 146). III – Mort et déstabilisation dans la lecture (p. 149) : signifiant du Malheur (p. 151), signal d'angoisse (p. 151) et dédoublement (p. 153) : la fonction même du jeu est précisément de traiter la perte (p. 155). III – La question de l' « identification 7 : à une situation, non à un personnage (p. 162) donc : à la « mort 7 ? (p. 163). Variations infinies dans le cadre d'une structure finie (p. 165). Les divers sens d' « identification 7 se vérifient (p. 171). Schéma récapitulatif (p. 172). IV – Mort et répétitif (p. 174). Braver réellement une mort fictive (p. 176). Mourir un peu (p. 177). Persée (p. 180). La lecture littéraire comme mort initiatique (p. 182), sa double fonction, psychique et sociale (p. 184). Relations consubstantielles de la
Caractéristiques
Caractéristiques
- Auteur(s)
- Michel Picard
- Date de parution
- 01/11/1998